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Dans une salle de bain stylisée, un homme et une femme se désirent et rejouent à l’envi des scènes d’étreinte ou de répulsion dans lesquelles un rasoir-couteau tient une place symbolique importante. Un quatuor à cordes accompagné d’une soprano joue une partition originale de Jean-Claude Wolff, inclus dans le décor comme les témoins immobiles et pétrifiés du déchirement entre les deux personnages.

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